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Notes sur le tag : Édith azam

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Dernières notes

Édith Azam, Louis Lafabrié, du savon dans la bouche

Les cimetières ont la clarté des lunes ouvertes. Le temps s'invite au temps d'avant mais on ne revient pas jamais vers les images. L'âge nous pousse chaque jour.   Le chien dehors, le chien pressent la fin. Le chat veille en silence.   Le passé s'effiloche la maison se lézarde les meubles craquent de tous leurs os. Dehors...

Publié le 27/09/2013 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Édith Azam, Décembre m'a ciguë

Matin les heures les secondes, veux pas savoir, ne veux pas voir et reste plus bas que les couvertures. Le temps dehors ? On est en décembre tout est glacé. La main sur la poitrine, je cherche mon cœur : descends dedans. Je crois aux liens cosmiques, je crois aux énergies, je crois qu'il ne me reste plus que ça : y croire. Dans l'en-deça de moi, me retrousse en entier, au plus grave des...

Publié le 25/09/2013 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Édith Azam, qui journal fait voyage

le jour du chien qui me mordra   Dans le jardin d'en face un chien hurle à la mort : il attend le printemps.   Près de la niche os en plastique plastique bouffé par les fourmis.   Lui le chien le très vieux chien il est aveugle ses yeux de cire sont gris pâle ses yeux de cire ne voient pas les fourmis rouges bouffer l'os...

Publié le 24/09/2012 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Édith Azam, Devant la porte, un paillasson : la parole

  Devant la porte, un paillasson : la parole...   Nous avons eu jadis, peut-être, la parole.   Nous sommes dupes de nous-mêmes, de ce foutu langage qui nous dévisse la bouche, y voyons une forme de supériorité animale qui se résume, au bout du compte, à calfeutrer nos phantasmes les plus, non, les mieux lubriques croyant nous éloigner de la bête mais... nous...

Publié le 21/11/2011 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

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